Génétique du cancer - prédisposition génétique au cancer peuvent être surmontés par des changements de mode de vie

À plus long écrasante preuves scientifiques suggèrent que les parties faibles dans notre armure génétique peut être compensée par des interventions impliquant l'alimentation, l'exercice, la modification de style de vie, et la gestion du stress. Génétique et les facteurs constitutionnels rendent certaines personnes plus disposées à des problèmes dans le système cardio-vasculaire, la peau, le cancer ou la mémoire. Pourtant, les facteurs de style de vie peuvent être contrôlés à des degrés divers pour compenser génétiques maillons faibles. Par exemple, si un de vos ancêtres ont eu un cancer du sein ou du diabète, vous ne devez pas craindre.

La recherche montre que la génétique ne représente qu'un faible pourcentage de vieillissement physique et mentale. La contribution maximale est de notre mode de vie, notre engagement avec la vie, ce que nous mangeons, la manière dont nous gérons le stress, nos liens sociaux, et le sentiment de pouvoir personnel. Ce sont certainement pas dans nos gènes. Ne nous laissons pas croire en la théorie de Karma plus et se rendre compte que nous sommes les maîtres de notre propre destin.

Les gènes modèles de santé influence à un considérable quand une personne est jeune. Après l'espérance de vie de 50 ans, l'expression génétique, et donc, est plus influencé par style de vie, l'environnement et des facteurs nutritionnels. Quand une personne est dans leurs années soixante-dix et quatre-vingt, il n'y a pas beaucoup d'influence génétique à gauche. A durée de vie à un âge avancé des influences environnementales et les choix personnels ont beaucoup plus d'influence que les gènes.

Nous avons beaucoup plus de contrôle sur le processus de vieillissement que l'on pensait précédemment. Nous savons que certains gènes sont associés à un risque accru de cancer du poumon. Pourtant, comme les taux de tabagisme ont diminué, ils ont aussi l'incidence de cette maladie d'abréger la vie. Incidence de la maladie cardiaque aux États-Unis a chuté de 45% depuis les années 1950. Cela n'a pas été d'abord accompli par la haute technologie, mais à travers des modes de vie améliorées, la baisse du tabagisme chez les hommes, et l'amélioration des régimes alimentaires des tous les facteurs qui ont modifié bio ¬ procédés chimiques régies par nos gènes.